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portrait de Jospeh Sérieys

Auteur
Eloy Chapsal

Contenu

Joseph Sérieys est né en 1780, dans une famille de notaire aurillacois. A 31 ans, il reprend la charge de son père. De 1828 à 1831, il est président de la Chambre des notaires d’Aurillac. En 1833 il est suppléant de la Justice de paix et il est aussi membre de la commission administrative de l’Hospice. Veuf précoce de son épouse Joséphine en 1845 et resté sans descendance, Sérieys va occuper ses loisirs à sa passion de l’art. Il reste comme un très grand amateur d’art du 19ème siècle. Il constitue une véritable galerie personnelle avec des œuvres achetées dans les salons parisiens. Il entretient une correspondance assidue avec de nombreux artistes et est un observateur avisé de la société de son temps. A sa mort en 1860, Joseph Serieys lègue la majeure partie de ses œuvres à la ville d’Aurillac pour contribuer dit-il à développer le goût des Beaux-Arts dans sa ville natale. Ce lègue est constitué d’un ensemble de correspondances avec divers artistes français, de 18 huiles sur toile et 10 gravures.

Informations bibliographiques
Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac

Classement
Objets, marqueurs d’histoires > Personnalités
Permalien
https://bibliotheque-numerique.aurillac.fr/idurl/1/11159

Joseph Sérieys est né en 1780, dans une famille de notaire aurillacois. A 31 ans, il reprend la charge de son père. De 1828 à 1831, il est président de la Chambre des notaires d’Aurillac. En 1833 il est suppléant de la Justice de paix et il est aussi membre de la commission administrative de l’Hospice. Veuf précoce de son épouse Joséphine en 1845 et resté sans descendance, Sérieys va occuper ses loisirs à sa passion de l’art. Il reste comme un très grand amateur d’art du 19ème siècle. Il constitue une véritable galerie personnelle avec des œuvres achetées dans les salons parisiens. Il entretient une correspondance assidue avec de nombreux artistes et est un observateur avisé de la société de son temps. A sa mort en 1860, Joseph Serieys lègue la majeure partie de ses œuvres à la ville d’Aurillac pour contribuer dit-il à développer le goût des Beaux-Arts dans sa ville natale. Ce lègue est constitué d’un ensemble de correspondances avec divers artistes français, de 18 huiles sur toile et 10 gravures.